Clément, 24 ans, passionné d’aviation et d’informatique.
J’ai eu la chance de pouvoir m’inscrire à une « option aéronautique » proposée dans mon lycée, le lycée Xavier Marmier, en 2006, lors de mon année de seconde. Au bout de l’année, j’ai obtenu mon premier « titre aéronautique », le BIA (Brevet d’Initiation Aéronautique). En juin 2006, j’effectue mon baptême de l’air (dans le cadre de la formation BIA) sur le DR400 de l’aéroclub de Pontarlier. J’en garde un souvenir inoubliable.
J’ai donc voulu continuer à voler, et apprendre à voler de mes propres ailes. J’ai eu la chance de pouvoir financer mon brevet de pilote privé (PPL), que j’ai obtenu en 2011. Mes études d’ingénieur en informatique m’ont également permises de travailler dans l’aéronautique, pour un grand groupe français.
Bonjour Clément,
Je t’adresse ce petit message car je trouve les articles intéressants et que je me reconnais dans ce que tu racontes; j’ai moi aussi passé mon Bia à Xavier Marmier avec M Lemarchand en 2011-12, et suis actuellement en formation PPL à l’AC de Pontarlier, et je voulais tout d’abord savoir si ton instructeur était bien Bertrand Marbach, qui fut aussi le mien pendant plus d’un an (il est parti en grèce depuis) ? Et étant actuellement en MP* à Victor Hugo à Besançon (CPGE 2e année) je voulais savoir dans quel école tu avais fais tes études d’ingénieur en Informatique
Voilà merci, et encore une fois bravo pour tes articles
Salut Corentin,
Merci pour ton commentaire et content que le blog te plaise !
Effectivement, Bertrand a bien été mon instructeur jusqu’au PPL… beaucoup de super souvenirs avec lui, d’autant que j’ai eu la chance de faire mon PPL avec 2 copains (Alexandre et Guillaume, tu les as peut-être croisé au club, quoi que leurs études/vie pro les ai aussi un peu éloigné de Pontarlier), donc on partait a 4 dans le DR400 à la demi-journée, très instructif de pouvoir observer d’autres élèves aux commandes ! J’ai encore des contacts assez réguliers avec lui !
Pour répondre à ta seconde question, j’ai fait l’UTBM à Belfort, que j’ai intégré à l’issue d’un DUT. J’avais sélectionné cette école car elle proposait une spécialisation en informatique embarquée, ce qui était la spécialisation que je souhaitais car j’avais envie de bosser dans l’avionique (j’en ai profité pour doubler avec la spécialisation réseau puisque désormais tous les systèmes avioniques communiquent entre eux, au sein de l’avion lui-même mais aussi de plus en plus avec d’autres avions ou avec le sol).
Ce choix a payé puisque désormais je travail dans l’avionique pour l’un des leader mondial dans le domaine.
Si tu veux plus d’infos n’hésites pas.
@+ && bons vols, au plaisir de te croiser peut-être un de ces 4 au club (je repasse à Pontarlier de temps à autres même si je me suis bien éloigné puisque je vis désormais à Bordeaux).
Clément
Bonjour Clément,
Au sujet du balisage qui est, en effet, en série, vous avez développé un constat qui est…faux ! Heureusement qu’une balise en défaut n’entraîne pas la panne de toute une boucle !!!
Je suis technicien et responsable des achats en balisage à l’ASECNA, l’Agence pour la Sécurité de la Navigation Aérienne en Afrique et à Madagascar, Délégation à Paris.
Je pourrais vous éclairer à ce sujet. A votre écoute,
Christophe GENTELET
Bonjour,
Merci pour votre commentaire.
Justement, dans mon article, je parle d’une idée initiale, celle que les balises sont bêtement en série, et que le claquage d’une ampoule éteindrait la boucle. Dans la suite de l’article, j’explique pourquoi cette idée est fausse, et comment on à contourné le problème !
Clément